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  • #14530049

    condiviso da le_ors il 2011-10-23

    Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances... LXXVI - Spleen Baudelaire

    19
  • I‘m ready

    condiviso da pandawong il 2017-07-04

    This is a skateboard, but I am ready.

    5
  • #24148976

    condiviso da odna il 2020-03-19

    #bnw #analog #womenphotographer

  • #23184431

    condiviso da vincent_bernard il 2019-01-22

    Hiking with my older brother in Basque Country. Expired Ektachrome 200.

  • Cowgate

    condiviso da vincent_bernard il 2019-01-22

    Trip to Edinburgh in July '18

    1
  • #23184576

    condiviso da vincent_bernard il 2019-01-22

    Hana Bolkonski x Museum d'Histoire Naturelle de Nantes. Expired HP5

  • La Seine

    condiviso da vincent_bernard il 2019-01-22

    Il se dit qu’à Paris vit un monstre qui emporte parfois les âmes seules dans son logis du fond des eaux. Paris, moderne et cosmopolite, garde encore en son sein le reste de ses multiples panthéons, exaltés par des générations d’artistes et par les mystiques qui, aujourd’hui encore, jouent avec l’obscurité. Nul ne s’effraie de la voracité de son fleuve pour ces cœurs qu’il attrape et retient dans son gouffre ondoyant, nul ne remarque sa silhouette aux aguets, femme qui marche, femme qui console et qui mange ; elle passe inaperçue le jour, la nuit, entre les quais et les badauds. La Seine, son eau glauque, sa vase millénaire, savent accueillir les âmes tristes avec la tendresse qui leur faisait défaut. Elle tend ses bras aux désespérés qui la contemplent rêveusement, elle illumine de ses reflets les vestiges des siècles qu’elle a parcourus, la nonchalante guivre aux écailles de jade… L’atmosphère parisienne est lourde des ténèbres humaines, et entre les anneaux de la Seine nichent encore la clameur du tocsin et le rugissement du massacre. Elle charrie lentement la fange et la malédiction, alanguie du poids des ombres, mais son appétit enfle toujours : elle cherche ceux qui l’exalteront malgré ses passions macabres, ceux dont les vers brûlants agiteront un peu ses tièdes profondeurs… Oh, mon amie ! Tes miroitements ont altéré mon œil, et si je pleure, ce sont tes larmes qui coulent. Mon existence est liée à ton cours comme le chêne à la terre, et si je m’éloigne trop longtemps, je me sens faner. Par toi j’aime cette ville maudite, je m’en enivre comme d’un vin capiteux, gras et entêtant, et je vous chanterai tel le rossignol contre le clair rosier ; je vous offrirai mon sang et ma plume, et si une nuit je croise l'ombre de ta vipère, je la saluerai comme on salue les princes. Et pourtant… aperçois-tu seulement mon âme frêle, à travers tes flots impérissables… ? Hana-Rebecca Bolkonski

  • La Seine

    condiviso da vincent_bernard il 2019-01-22

    Il se dit qu’à Paris vit un monstre qui emporte parfois les âmes seules dans son logis du fond des eaux. Paris, moderne et cosmopolite, garde encore en son sein le reste de ses multiples panthéons, exaltés par des générations d’artistes et par les mystiques qui, aujourd’hui encore, jouent avec l’obscurité. Nul ne s’effraie de la voracité de son fleuve pour ces cœurs qu’il attrape et retient dans son gouffre ondoyant, nul ne remarque sa silhouette aux aguets, femme qui marche, femme qui console et qui mange ; elle passe inaperçue le jour, la nuit, entre les quais et les badauds. La Seine, son eau glauque, sa vase millénaire, savent accueillir les âmes tristes avec la tendresse qui leur faisait défaut. Elle tend ses bras aux désespérés qui la contemplent rêveusement, elle illumine de ses reflets les vestiges des siècles qu’elle a parcourus, la nonchalante guivre aux écailles de jade… L’atmosphère parisienne est lourde des ténèbres humaines, et entre les anneaux de la Seine nichent encore la clameur du tocsin et le rugissement du massacre. Elle charrie lentement la fange et la malédiction, alanguie du poids des ombres, mais son appétit enfle toujours : elle cherche ceux qui l’exalteront malgré ses passions macabres, ceux dont les vers brûlants agiteront un peu ses tièdes profondeurs… Oh, mon amie ! Tes miroitements ont altéré mon œil, et si je pleure, ce sont tes larmes qui coulent. Mon existence est liée à ton cours comme le chêne à la terre, et si je m’éloigne trop longtemps, je me sens faner. Par toi j’aime cette ville maudite, je m’en enivre comme d’un vin capiteux, gras et entêtant, et je vous chanterai tel le rossignol contre le clair rosier ; je vous offrirai mon sang et ma plume, et si une nuit je croise l'ombre de ta vipère, je la saluerai comme on salue les princes. Et pourtant… aperçois-tu seulement mon âme frêle, à travers tes flots impérissables… ? Hana-Rebecca Bolkonski

  • La Seine

    condiviso da vincent_bernard il 2019-01-22

    Il se dit qu’à Paris vit un monstre qui emporte parfois les âmes seules dans son logis du fond des eaux. Paris, moderne et cosmopolite, garde encore en son sein le reste de ses multiples panthéons, exaltés par des générations d’artistes et par les mystiques qui, aujourd’hui encore, jouent avec l’obscurité. Nul ne s’effraie de la voracité de son fleuve pour ces cœurs qu’il attrape et retient dans son gouffre ondoyant, nul ne remarque sa silhouette aux aguets, femme qui marche, femme qui console et qui mange ; elle passe inaperçue le jour, la nuit, entre les quais et les badauds. La Seine, son eau glauque, sa vase millénaire, savent accueillir les âmes tristes avec la tendresse qui leur faisait défaut. Elle tend ses bras aux désespérés qui la contemplent rêveusement, elle illumine de ses reflets les vestiges des siècles qu’elle a parcourus, la nonchalante guivre aux écailles de jade… L’atmosphère parisienne est lourde des ténèbres humaines, et entre les anneaux de la Seine nichent encore la clameur du tocsin et le rugissement du massacre. Elle charrie lentement la fange et la malédiction, alanguie du poids des ombres, mais son appétit enfle toujours : elle cherche ceux qui l’exalteront malgré ses passions macabres, ceux dont les vers brûlants agiteront un peu ses tièdes profondeurs… Oh, mon amie ! Tes miroitements ont altéré mon œil, et si je pleure, ce sont tes larmes qui coulent. Mon existence est liée à ton cours comme le chêne à la terre, et si je m’éloigne trop longtemps, je me sens faner. Par toi j’aime cette ville maudite, je m’en enivre comme d’un vin capiteux, gras et entêtant, et je vous chanterai tel le rossignol contre le clair rosier ; je vous offrirai mon sang et ma plume, et si une nuit je croise l'ombre de ta vipère, je la saluerai comme on salue les princes. Et pourtant… aperçois-tu seulement mon âme frêle, à travers tes flots impérissables… ? Hana-Rebecca Bolkonski

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  • WalkingLadyWalkingGirl74_004

    condiviso da plugdesigner il 2019-01-13

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    condiviso da cavva il 2019-01-13

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    condiviso da michaelback il 2009-10-17

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  • My teacher's Rolleiflex

    condiviso da natalieerachel il 2011-11-07

    Attempted self doubles with galaxy photos with the computer screen. Unfortunately the day time photos completely wiped out the stars. But the night shots came out quite nicely. I'll have to try this again!

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  • Auto for the people

    condiviso da superlighter il 2010-05-10

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  • Reposed

    condiviso da mylatehope il 2010-11-17

    Holga 120 N camera with Ilford Delta 3200 pushed one stop when developing. I had a Pocket Wizard on the hot shoe of the Holga control one Alien Bee B800 with a medium sized Octobox (basically one studio light). It really was a blast controlling a studio light with a Holga!

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  • STOP SHOOTING AT ME

    condiviso da weidong il 2011-09-16

    im so bored at you weidong!

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  • Birds in your stomach

    condiviso da palkina il 2012-04-23

    this is my first ever bw film on lc-a. and my first self-developement // I shot this film very quickly in the lunch break. just was going to shoot the test roll for the test development. finally it was a lucky lunch break for me.

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